SNEPIE TUS ... pour vous, mais pas sans vous ...

Résultats de l’enquête sur le temps de travail

A 18h aujourd’hui, nous avons recueilli 188 réponses, ce qui représente un peu moins de 18% de participation. Sur ces réponses, 113 personnes (60%) sont favorables à la signature de l’accord.

 La participation a été très variable en fonction des niveaux :

• Niveau I à IV : 3 réponses, soit 4.5 % de l’effectif
• Niveau V : 46 réponses, soit 17.5 % de l’effectif
• I/C Pos II : 61 réponses, soit 25 % de l’effectif
• I/C Pos II : 78 réponses, soit 16 % de l’effectif

Analyse des résultats par site [ici]

Analyse des résultats par sexe [ici]

Environ la moitiée des votes ont été accompagnés de commentaires. Les expressions des salariés sont données ci-dessous.

• Les réponses favorables à la signature [ici]

• Les réponses défavorables à la signature [ici]

Merci à toutes celles et tous ceux qui ont participés.

 

Donnez votre avis sur l'accord sur le temps de travail

La Direction ayant dit qu'elle n'irait pas plus loin sur l'accord sur le temps de travail, nous considérons que le temps de la négociation est clos.

Nous souhaitons recueillir votre opinion sur l'opportunité ou non d'une signature de cet accord en l'état, par les représentants du personnel.

Tous les salariés de TUS ont le droit de participer à ce sondage, afin de recueillir les avis le plus largement possible. Nous mettrons ici-même en ligne les résultats de ce sondage dans quelques jours.

Sachant qu'il est techniquement très facile de voter plusieurs fois, et afin d'avoir les résultats de sondage les plus fiables possible, nous vous demanderons de vous identifier, en donnant votre adresse mail Thales. Seul le Délégué Syndical Central CFE-CGC de TUS y aura accès et cela nous permettra de vous envoyer une confirmation de votre vote. Nous nous engageons à une totale confidentialité des choix exprimés.

Vous pouvez accèder à la page de vote par le lien suivant :

Lien vers le questionnaire de vote

La réponse de la direction étant attendue sous des délais assez brefs (16 juillet), nous vous demandons de répondre très rapidement pour que votre réponse puisse être prise en compte. Cela prend moins d'une minutes à remplir.

Merci de votre participation.

Quand le travail empiète sur la vie privée

Un quart des salariés juge insatisfaisant l'équilibre entre leur vie familiale et professionnelle.

Le travail déborde de plus en plus sur la vie privée et familiale des Français, qui aimeraient que les entreprises et même l'Etat en fassent davantage pour les aider à tout concilier. Selon un sondage publié mardi 3 avril par l'Observatoire de la parentalité en entreprise (OPE) et l'Union nationale des associations familiales, la quasi-totalité des personnes interrogées estime que la conciliation entre vie familiale et professionnelle est un sujet de préoccupation important, et sept sur dix qu'il devrait être prioritaire pour les candidats (sondage effectué du 14 au 23 février auprès d'un échantillon de 1 001 salariés ayant des enfants). L'enjeu est pourtant seulement effleuré dans les programmes, et uniquement lorsqu'il s'agit de l'emploi des femmes. Or, selon l'OPE, « les hommes ont également de fortes attentes ».

Résultat et analyse de l'enquête

Comme convenu, voici le résultat de l'enquête sur le temps de travail que nous avons réalisé durant le mois d'avril.

Résultat et analyse du sondage sur le temps de travail à TUS

Les négociation étant déjà commencée et l'enquête finissant au 30 avril, le dépouillement s'est fait probablement un peu vite au regard de l'ensemble des réponses qui y figurent. Néanmoins, il donne une bonne vision de l'expression globale des salariés et du rapport au temps de travail à TUS.

Un grand merci à tous ceux qui ont répondu et grace à qui nous avons pu collecter toutes ces réponses. Cela nous permet de mieux comprendre les attentes et donc d'être plus pertinent dans la négociation.

Pour ceux qui souhaitent lire les réponses écrites recueillies, ci-dessous un fichier regroupant l'ensemble des expressions pour les questions principales, classé en fonction de la catégorie et du site.

Réponses écrites détaillées

 

Enquête sur le temps de travail à TUS - 2012

A la mi-avril, la direction de TUS souhaite engager des discussions sur le temps de travail (probablement dans la perspective d'une augmentation).

Les dernières discussions sur le sujet datent de 4 ans et s'étaient conclues sur un statu quo. La direction semble aujourd'hui plus motivées pour faire bouger les lignes, il est donc important de s'y préparer.

En amont de cette discussion, nous souhaitons recueillir vos avis et vos attentes sur la question du temps de travail à TUS (Sophia et Brest). Nous avons donc préparé un questionnaire simple qui ne vous prendra pas plus de 5 minutes et nous permettra de mieux cadrer les échanges avec la direction.

Merci de prendre quelques minutes de votre temps pour répondre à ce questionnaire :

Enquête sur le temps de travail à TUS

L'enquête est ouverte sur tout le mois d'avril. Le dépouillement final des résultats se fera début mai.

Dix questions au secrétaire du CE de Brest

1 _ Quels sont les rôles du secrétaire du CE ?

Il y a d’abord la partie correspondant aux réunions du Comités d’Etablissement, où tous les élus se retrouvent en réunion avec la direction pour discuter du fonctionnement de l’entreprise. Ensuite, avec le bureau du CE, il y a la partie de gestion des activités sociales et culturelles. Les deux rôles sont assez différents.

2 _ Lors des réunions du CE avec la direction, comment se répartissent les rôles ?

Dans le Code du travail, la responsabilité du secrétaire se résume à établir l’ordre du jour, à contrôler la sincérité des comptes rendus et à les diffuser. Chacun des élus est donc libre de s’exprimer et de poser ses questions à la direction, sur tous les sujets de l’entreprise.

Dans les faits, le secrétaire du CE a aussi un rôle de facilitateur dans la marche du Comité d’Etablissement. Il est en prise directe avec la direction d’un coté, les élus et les représentants syndicaux de l’autre. Il doit faire en sorte que l’échange puisse avoir lieu, même s’il y a friction ou désaccord de fond.

Stress en entreprise - Dossier du magazine Santé & Travail

Le magazine Santé & Travail fait un dossier spécial sur le stress en entreprise et les Risques PsychoSociaux (RPS). Nous vous en faisons profiter afin de vous donner des éléments de réflexion sur un sujet complexe.

• La prévention fait fausse route
• Des accords sur le stress qui sonnent faux
• Les grandes entreprise en restent au diagnostic
• Mesurer les facteurs psychosociaux de risque ?
• Terrain miné pour la médecine du travail
• Comprendre le travail pour mieux le négocier
• Prévention locale contre négociation nationale
• A Renault, la CGT parie sur l'analyse du travail
• "Le management est empêché" (Interview)
• Ce qu'il faut retenir ...

La tyrannie de l'« open space »

Bruit, promiscuité... de nombreux salariés souffrent de ce mode d'organisation de l'espace

Mauvaise nouvelle pour les réfractaires au travail en espace ouvert. La fin, souvent annoncée, des « open spaces » (bureaux collectifs installés sur un plateau unique), n'est pas pour demain. Bien que l'on soit loin du new new management avec le « bench » - bureau composé de tables de bibliothèque - ou le « free seating » où l'on réserve sa place, « il aurait même le vent en poupe, affirme Elisabeth Pélegrin-Genel, architecte, urbaniste et psychologue, auteur de Des souris dans un labyrinthe (La Découverte, 2010). C'est un mouvement irréversible. » Car le modèle impose son hégémonie : 60 % des entreprises françaises l'ont adopté.

Pourtant, sa mauvaise réputation ne date pas d'hier. Souvenons-nous de Monsieur Hulot, dans Playtime, de Jacques Tati, ou encore de The Apartment, de Billy Wilder. Plus près de nous, le pamphlet de deux trentenaires, Alexandre des Isnards et Thomas Zuber (L'Open space m'a tuer, Hachette, 2008), n'a pas arrangé son portrait. Le tendre et cynique roman de l'Américain Joshua Ferris Open Space (Denöel, 2007) n'en a pas moins la dent dure. Sur le Web existe même un forum - Lopenspacematuer.com - et, sur Facebook, un comité de libération des détenus des open spaces français...

Observatoire de la vie au travail

Selon la 2^e édition du baromètre annuel de l'Observatoire de la vie au travail (OVAT), animé par M@rs-lab et l'Institut de médecine environnementale (IME), 75 % des salariés se déclarent fortement impliqués au travail.

Parallèment, l'étude constate l'évolution de 4 indicateurs sur 7 par rapport à l'an dernier. Ainsi, malgré cette implication, 60% des salariés évaluent défavorablement le climat social; 65% se sentent exposés au stress, contre 55% en 2009; 58% jugent insuffisante la qualité managériale de leur entreprise; et 64% sont mécontents de la gouvernance sociale.

L'empathie, ce n'est pas une maladie

Psychologues et psychiatres déplorent que nos sociétés hypercompétitives ne valorisent pas davantage l'altruisme

Stop à l'indifférence. Cultivons notre empathie ! Cette capacité à se mettre à la place de l'autre, à ressentir ses émotions. Ils sont de plus en plus nombreux - philosophes, psychologues, psychiatres - à plaider pour davantage d'altruisme. « La concurrence économique exacerbée par la mondialisation pousse chacun, bon gré mal gré, à entrer dans une logique de guerre dont les premières victimes sont au bout du compte la compassion, l'entraide et la solidarité », considère Serge Tisseron, psychiatre et psychanalyste, auteur de L'Empathie au cœur du jeu social (éd. Albin Michel, 224 p., 17 euros). Les nouvelles technologies facilitent ce mouvement parce qu'elles invitent à la multiplication de relations désincarnées, sans visage, le plus souvent sans voix.